Cancer : la mortalité ne recule pas

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Cancer : la mortalité ne recule pas

Chère lectrice, cher lecteur,

Le cancer est la première cause de mortalité en Europe.

Les décès par cancer représentent 37 % des décès prématurés (avant 65 ans) dans l'Union Européenne et sont la première cause de mortalité [1].

Pour les hommes, c'est la France qui est frappée par le taux de décès par cancer le plus élevé d'Europe, avec un fort écart par rapport au pays suivant, la Belgique. Les taux de décès les plus faibles s'observent en Finlande et en Grèce [2].

En France, selon l'Institut de Veille Sanitaire [3], le taux de décès par cancer est passé de 148 décès par an pour 100 000 hommes en 1950 à plus de 300 décès pour 100 000 hommes en 1990, soit plus du double, et s'est maintenu depuis à ce niveau jusqu'à présent.

Concernant les femmes, il est passé d'environ 170 décès par an pour 100 000 femmes en 1950 à 190 décès pour 100 000 femmes aujourd'hui. Cette augmentation est faible mais régulière. La population atteinte à la fois de cancer du sein et de cancer du col de l'utérus est de plus en plus jeune.

Chez les hommes, on constate en France un taux élevé de cancers de la bouche (plus précisément, cancer des voies aérodigestives supérieures), du poumon et du foie, liés au tabagisme et à l'alcool.

L'augmentation du tabagisme chez les femmes entraîne chez elles aussi une hausse des décès par cancer du poumon.

Il semble donc que l'optimiste « Guerre contre le Cancer » mise en œuvre par les gouvernements et les instituts sanitaires ne se déroule pas au mieux pour nous. Pour l'instant, c'est plutôt le cancer qui est en train de gagner.

Le sentiment du grand public selon lequel la médecine sait mieux guérir le cancer aujourd'hui qu'il y a 10 ans doit être tempéré par un examen honnête et rigoureux de la réalité.

L'illusion du dépistage

Certes, les moyens de dépistage ayant beaucoup progressé, on détecte aujourd'hui les cancers beaucoup plus tôt. Il est certain que c'est une bonne chose puisqu'il est plus facile de soigner un cancer au stade précoce. Il reste que plus le cancer apparaît chez une personne adulte jeune, plus grave il est, plus il est difficile à combattre.

Toutefois, le dépistage précoce peut créer une illusion. Même si, au bout du compte, vous ne vivez pas plus longtemps, vous avez été malade plus longtemps. Vous avez donc l'impression que les traitements ont été plus efficaces, car votre durée de survie est plus longue après la découverte de votre cancer.

Avec les progrès de l'imagerie ces dernières décennies, on est capable de détecter de toutes petites tumeurs. Le problème est qu'il est impossible de savoir à l'avance comment une tumeur cancéreuse va évoluer.

Il existe un système de gradation pour mesurer l'agressivité d'une tumeur, mais la fiabilité n'est pas de 100 %.

Existe toujours le risque de se lancer dans des traitements pénibles, voire invalidants, alors que ces tumeurs n'auraient de toute façon jamais évolué.

Souvent ce sont des lésions dites « borderline » (limite) qui sont d'évolution lente et ne sont pas inquiétantes chez les personnes très âgées.

L'étude de la Cleveland Clinic faite par les pathologistes de Détroit (USA) dans les années 80 au sujet de la prostate [4] a révélé que vous découvrirez un « cancer de la prostate » chez 45 % des hommes de 50 à 59 ans si vous allez fouiller dans leur prostate avec une aiguille (un examen appelé biopsie).

La proportion d'hommes que l'on peut considérer atteints du cancer de la prostate monte à 68 % des hommes de 60 à 69 ans et 82 % des hommes de 70 à 79 ans.

Même parmi les hommes entre vingt et trente ans, près de 10 % ont déjà un « cancer de la prostate ».

Mais cela ne veut pas du tout dire qu'il faille systématiquement traiter ou opérer.

De nombreux cancers de la prostate sont « non-progressifs » :
  • certains cancers s'atrophient (se réduisent) parce qu'ils dépassent la capacité d'apport sanguin des vaisseaux qui les irriguent ;

  • d'autres sont repérés par le système immunitaire de l'hôte qui parvient à les détruire ;

  • d'autres ne sont pas agressifs et stagnent jusqu'à la mort du patient (qui décède donc d'une autre cause) ;

  • d'autres enfin évoluent si lentement que, de la même façon, le patient souffrira et mourra d'une autre maladie avant que sa taille ne soit devenue gênante.
Il existe de nombreuses causes biologiques expliquant l'absence d'évolution négative d'un cancer, que les scientifiques sont en train de découvrir actuellement [5].

L'éradication de ces tumeurs borderline donne l'impression que l'on a réussi à guérir le patient du cancer. Ce cas est donc particulièrement fréquent pour le cancer du sein et de la prostate. En résultent des interventions inutiles, potentiellement invalidantes (pertes urinaires, impuissance), mais les personnes sont convaincues qu'elles ont eu la vie sauve grâce aux « progrès de la médecine » !

Pourquoi les cellules deviennent-elles folles ?

A l'origine d'une tumeur, une ou plusieurs cellules se dérèglent : une partie – encore méconnue - de leur ADN mute et elles deviennent capables de se multiplier sans compter et même de déjouer la régulation du système immunitaire.

Plusieurs facteurs sont identifiés comme mutagènes (qui font muter les cellules) :

  • le tabac ;

  • les produits chimiques (benzènes, alcool) ;

  • les radiations ;

  • les infections (bactérie Helicobacter pour l'estomac, papillomavirus pour les maladies sexuellement transmissibles que sont les cancers du col de l'utérus ou de la zone ORL, hépatite B ou C pour les cancers du foie) ;

  • les traitements hormonaux synthétiques (pilule contraceptive, traitements hormonaux de la ménopause) ;

  • les mauvaises habitudes alimentaires qui conduisent à l'obésité ;

  • le sida (du fait de la baisse de l'immunité) ;

  • et aussi… plus rarement mais de façon certaine, les traitements contre le cancer. Par exemple, une radiothérapie intense centrée sur le sein ou le rectum peut induire des sarcomes des zones irradiées. Le traitement de la leucémie aigüe chez l'enfant, qui nécessite des rayons et de la chimiothérapie à haute dose, déclenche très souvent une leucémie chronique à la fin de l'adolescence.

Ensuite, on vous parlera bien sûr d'hérédité, de « génétique », mais la vérité est qu'on n'a pas la moindre certitude de pourquoi et comment certains gènes provoquent le cancer. Au risque de choquer, je considère que déclarer à quelqu'un qu'il a un risque héréditaire ou génétique de cancer revient à lui annoncer qu'il a « la malédiction du cancer » qui pèse sur sa tête. Dans certains cancers, il y a plus de 500 anormalités génétiques identifiables – dont aucune n'est clairement désignée comme la cause.

L'exception est des « gènes du cancer du sein » BRCA 1 et 2, dont tout le monde a entendu parler avec la célèbre Angelina Jolie qui a décidé de se faire une ablation des seins pour cette raison. Dans son cas, l'opération était probablement nécessaire (je n'en sais rien, je n'ai évidemment pas les détails de son dossier médical, mais je fais confiance à ceux qui l'ont traitée). Cependant, même dans le cas de ces gènes, il est désormais admis que les principaux facteurs déclenchant le cancer restent le mode de vie et l'environnement.

Le phénomène a été reconnu tout récemment quand on s'est aperçu que entre les actuelles mères et filles portant ces mêmes gènes, les mères (nées avant la Seconde guerre mondiale) ont nettement moins de risque que leur fille d'avoir un cancer du sein. Ce sont les travaux parus l'année dernière de la chercheuse de Toronto (Canada) Joanne Kotsopoulos [6].

Les chercheurs ne produisent pas de miracle

Il existe beaucoup d'autres choses que l'on ne comprend pas sur le cancer. Par exemple, dans les pays occidentaux, le nombre de décès par cancer de l'estomac, très dangereux, s'est effondré depuis les années 30, représentant moins de 2 % des cancers alors qu'il reste la deuxième cause de mortalité par cancer à travers le monde. On pense que la conservation des aliments au froid, qui a permis d'éviter les conserves et les conservateurs en excès, est sans doute à l'origine de cet effondrement. C'est donc l'industrie de l'électroménager qui aurait permis cet important progrès.

Les scientifiques avancent aussi l'hypothèse qu'il est dû au recul de la consommation d'aliments salés, fumés ou marinés, depuis l'introduction des réfrigérateurs dans les foyers. L'industrie agro-alimentaire serait donc responsable de ce recul du cancer de l'estomac. Dans un cas comme dans l'autre, elle ne serait donc pas due au progrès médical.

Concernant la piste génétique, les choses paraissaient plus simples au départ : on imaginait que l'ADN était un simple ruban d'informations codant le développement de l'organisme à la manière d'un simple programme d'ordinateur. Et s'il y avait un problème ou une mutation, il suffisait de changer le code du programme.

Aujourd'hui, on s'aperçoit que les choses sont infiniment plus complexes. Qu'il existe de l'ADN liquide et des bouts d'ADN en dehors du noyau de la cellule. Que les gènes s'activent et se désactivent dans le temps, et selon l'environnement, sans qu'on ait la moindre idée de la raison pour laquelle cela se produit. Que les mutations sont incontrôlables, le plus souvent anodines, et qu'il est très difficile de savoir quelles mutations empêcher, et comment, pour éviter que la cellule ne devienne cancéreuse. Que deux jumeaux ont beau avoir exactement le même ADN au départ avec le même risque génétique de cancer, vivre au même endroit et manger les mêmes choses, les deux ne déclencheront jamais la maladie au même moment, sous la même forme, et avec la même évolution. Il se peut d'ailleurs parfaitement que l'un développe la maladie et l'autre non. Les facteurs environnementaux, le mode de vie, l'alimentation, vont déterminer l'expression de certains gènes (ce qu'on appelle l'épigénétique) et leur possible dérèglement.

La recherche sur le cancer peut être comparée à l'astronomie : une science qui paraissait relativement simple au départ, avec les planètes et les étoiles qui semblaient tourner sur des trajectoires plus ou moins régulières. Mais aujourd'hui on ne découvre plus que des phénomènes incompréhensibles : par exemple que « l'espace est courbe », ou qu'il existe de « l'antimatière » ou des « univers parallèles ». Ne vous y trompez pas : si vous n'y comprenez rien, c'est normal. Ce sont des expressions inventées pour mettre des mots sur des équations mathématiques, mais que le cerveau humain ne peut pas concevoir (et pas plus celui des chercheurs qui ont fait les découvertes que le vôtre).

Dans la recherche sur le cancer, c'est la même chose. On vous dit que vous avez un foyer cancéreux, une tumeur, des métastases, mais personne ne sait en réalité pourquoi cela s'est produit, ni comment cela va évoluer, ni quelle sera l'efficacité des traitements. D'ailleurs, la quasi-totalité des traitements contre le cancer sont « empiriques ». Cela veut dire qu'on s'est aperçu qu'ils marchaient, mais personne ne sait vraiment pourquoi ils marchent. Les mécanismes d'action eux-mêmes ne sont pas connus.

Dans la presse grand public, on nous promet constamment des progrès fantastiques, pour nous rassurer.

Dans la réalité, avant tout, on piétine, j'oserais même dire on bidouille (ce qui peut donner parfois aux malades une très désagréable impression…).

Le Dr Leonard Saltz, spécialiste du cancer du côlon au Memorial Sloan-Kettering Cancer Center, le centre le plus connu de traitement du cancer aux USA, a expliqué dans le New York Times la dure réalité :

« Les gens arrivent trop souvent chez nous en imaginant que les tout derniers médicaments peuvent guérir le cancer métastasé. Ils sont souvent étonnés d'apprendre que la dernière technologie ne guérit pas. [7] »

« Ce serait très dur et manquer de délicatesse que de leur dire "Tout ce que nous avons, c'est un médicament qui coûte 10 000 $ par mois et qui allonge en moyenne votre délai de survie d'un mois ou deux." »

Mais très souvent, c'est la vérité.La semaine dernière, le Wall Street Journal a annoncé que la firme Pfizer lançait un nouveau traitement contre le cancer du sein à 9850 $ par mois. « Petit » problème, il n'existe aucune preuve que ce traitement ait le moindre effet pour prolonger la vie des patientes [8].

Plutôt prévenir que guérir

Le meilleur moyen d'éviter d'avoir un jour à consulter un cancérologue, c'est d'adopter aujourd'hui un mode de vie anti-cancer, qui minimise les risques de mutation de vos cellules. C'est un ensemble de mesures concrètes documentées dont on peut raisonnablement penser qu'elles réduiront votre risque de cancer. L'effet d'un mode de vie n'est pas facile à évaluer et à chiffrer scientifiquement.

Mais on sait que les meilleures choses à faire pour faire baisser vos risques immédiats sont de :

1. Adopter une alimentation la moins transformée possible

Limitez la consommation des nourritures et boissons raffinées : sodas, céréales transformées, acides gras trans, bonbons, biscuits salés et sucrés en tout genre, plats préparés.

Consommez des légumes achetés sous forme non transformée, de saison, et si possible locaux, en évitant les cuissons à haute température (surtout le barbecue et les fritures) ; choux, cresson, radis et légumes-feuilles sont à privilégier.

Choisissez des viandes et des poissons de haute qualité, si possible sauvages, ou au minimum élevés dans leurs conditions de vie normale (poules laissées libres de picorer, bétail en pâturage, poissons sauvages).

2. Optimiser vos apports en antioxydants et en omega-3

Réduisez votre consommation d'huiles riches en oméga-6 (maïs, tournesol) au profit de l'huile d'olive et de l'huile de colza, en première pression à froid. Pour optimiser vos apports en omega-3, reprenez l'habitude de manger des petits poissons gras fréquemment (anchois, sardines, harengs et maquereaux sont les meilleurs pour la santé, grâce à leur haute teneur en EPA et DHA, des sortes d'oméga-3.)

Consommez des aliments riches en antioxydants : un carré de chocolat noir (70 % de cacao), un ou deux verres de bon vin rouge par jour, 3 tasses de thé vert japonais par jour (sans sucre).

Veillez aussi à la qualité de votre digestion et à avoir un tube digestif sain en consommant des fibres prébiotiques et des probiotiques (aliments fermentés).

Optimisez votre taux de vitamine D par une exposition régulière au soleil et la prise d'un complément alimentaire (1500 UI par jour) d'octobre à avril. Veillez aussi à entretenir des apports suffisants en magnésium, potassium, vitamines, et oligo-éléments.

3. Faire régulièrement de l'exercice physique 

Une très large étude qui vient de sortir (42 000 athlètes de haut niveau suivis) conclut que les athlètes meurent moins de maladies cardiaques et de cancers que la population générale. La diminution du cancer est de 40 % par rapport à la population générale et de 27 % pour les maladies cardiaques [9].

4. Eviter le contact avec les substances cancérigènes

Que ce soit dans l'environnement (épandages d'herbicides et pesticides, pollution atmosphérique), dans la nourriture et les vêtements, dans vos intérieurs (vernis, détergents, parfums chimiques, peintures…), évitez au maximum le contact avec les produits chimiques et préférez des alternatives non-toxiques.

5. Réduire votre niveau de stress

Le stress physique et mental est aussi néfaste à l'ensemble de vos cellules. Apprenez à respirer profondément, à adopter une bonne posture, à vivre au calme et à pratiquer une activité physique régulière en plein air et au soleil (marche en montagne, bains de mer si vous pouvez).

Cultivez un jardin ou des fleurs sur son balcon, occupez-vous de son animal domestique si vous en avez un, achetez par exemple des livres pour mieux le connaître.

6. Soignez votre moral 

Faites des choix de vie conjugaux, familiaux, éducatifs, professionnels qui vous apportent un réel équilibre sur le long terme. Ayez des activités sociales, artistiques, spirituelles qui vous épanouissent intérieurement.

Soignez vos relations avec les membres de votre famille, vos amis, vos voisins ; la qualité du réseau social est un des principaux facteurs de longévité et de chances de survie en cas de cancer.

Plus vous progresserez dans un mode de vie sain global, prenant en compte toutes les dimensions de votre vie, moins vous risquez de vous retrouver un jour face à un cancérologue qui vous expliquera… qu'il ne peut rien pour vous.

À votre santé !

Jean-Marc Dupuis

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Sources :

[1] Mortalité par cancer dans l'Union Européenne et situation de la France

[2] Mortalité par cancer dans l'Union Européenne et situation de la France, page 13

[3] Évolution de la mortalité par cancer en France de 1950 à 2006

[4] W. A. Sakr, D. J. Grignon, G. P. Hass et collab., « Age and Racial Distribution of Prostatic Intraepithelial Neoplasia », European Urology, 30 (1996) : 138-144.

[5] W. J. Mooi et D. S. Peeper, « Oncogene-induced Cell Senescence – Halting ont the Road to Cancer », New England Journal of Medicine, 355 (2006) : 1037-1046 ; J. Folkman et R. Kalluri, « Cancer without Disease », Nature, 427 (2004) : 787 ; M. Serrano, « Cancer Regression by Senescence »

[6] Kotsopoulos, J. et al. Breast Can. Res. Treat. 143, 579–586 (2014).

[7] The art of setting a drug price

[8] Advances Elusive in the Drive to Cure Cancer

[9] Elite Athletes Live Longer Than the General Population: A Meta-Analysis

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