Pénurie de vaccins : que se passe-t-il vraiment ?Les parents qui souhaitent faire vacciner leur enfant contre la diphtérie, la poliomyélite et le tétanos (vaccin DTP, obligatoire en France) ont un gros problème.Depuis le mois de septembre 2014, ce vaccin n'est plus disponible en pharmacie. Il y a rupture de stock. Or des sanctions pénales sont prévues contre les parents en cas de non respect des vaccinations obligatoires. Prison et amendes, voici ce que dit la loi : « Le refus de se soumettre ou de soumettre ceux sur lesquels on exerce l'autorité parentale ou dont on assure la tutelle aux obligations de vaccination prévues aux articles L. 3111-2, L. 3111-3 et L. 3112-11 ou la volonté d'en entraver l'exécution est puni de six mois d'emprisonnement et de 3 750 euros d'amende. » Dilemme insurmontableAu-delà d'un débat scientifique nécessaire et légitime sur l'utilité et les dangers de cette vaccination, mais qui est interdit de fait par les Autorités de santé françaises, parents et médecins sont confrontés à un dilemme insurmontable dans l'état actuel des choses :
Dangers du vaccin hexavalentIl existe un débat sur les « simples » vaccins, qui ne concernent qu'une maladie, avec encore récemment le scandale des décès en Italie et la mort de deux enfants en France officiellement reconnus comme causés par le vaccin contre la gastro. L'un des nourrissons avait reçu une injection de Rotarix, du laboratoire GSK, et l'autre s'était vu administrer le vaccin Rotateq de Sanofi Pasteur MSD.Mais les vaccins « hexavalents », qui prétendent immuniser contre 6 maladies graves d'un coup, sont plus controversés encore. Les travaux du Pr Gherardi (Inserm) et du Pr Authier (Institut de Recherche médicale Henri Mondor) ainsi que ceux d'autres chercheurs étrangers ont montré que ces vaccins seraient neurotoxiques. Ils entraîneraient des maladies dégénératives et auto-immunes par la quantité de vaccins injectés au cours de la première année de vie alors que le système immunitaire du nourrisson est fragile. Pratiqués sur des petits de quelques semaines seulement, ils fonctionnent en déclenchant une tempête du système immunitaire dont il est tout à fait normal de redouter les conséquences, aussi bien sur le long terme, avec les maladies auto-immunes, que sur le cours terme, avec un choc anaphylactique. (Un choc anaphylactique est un accident potentiellement mortel provoqué par un emballement de nos défenses naturelles qui inondent l'organisme de cellules et messagers immunitaires). À noter que le calendrier vaccinal recommande en effet de réaliser le même jour le vaccin Prévenar, qui comporte pas moins de 13 valences de pneumocoques (nombre de maladies contre lesquelles le vaccin est censé protéger). Or, les réactions neurologiques peuvent augmenter lorsque l'on combine ces différents vaccins. De plus, à deux mois, la barrière hémato-encéphalique des enfants n'est pas achevée. Il s'agit de la barrière naturelle qui protège le cerveau des toxines pouvant être présentes dans le flux sanguin. C'est la raison pour laquelle injecter à un nourrisson un produit chargé en aluminium serait bien plus problématique encore que chez l'adulte, avec un risque important de dépôts d'aluminium dans le cerveau. L'ombre menaçante de la sclérose en plaquesComme si cela ne suffisait pas, le vaccin contre 6 maladies (dit « hexavalent ») contient le redoutable vaccin contre l'hépatite B, dont on n'a jamais vraiment su s'il pouvait déclencher ou non la sclérose en plaques.Rappelons que l'hépatite B est une maladie que vous n'attrapez pas comme la grippe ou les oreillons. Il n'est raisonnable d'envisager la vaccination que pour les personnes ayant des comportements à risque ou travaillant en étroite relation avec ce type de public (infirmières, éventuellement travailleurs sociaux). Un petit bébé élevé dans des conditions normales n'a aucune raison d'attraper l'hépatite B, et donc de courir les risques liés à la vaccination. Les parents mis dans une situation intenable par les autoritésCe dossier accablant oblige les parents à choisir entre fermer les yeux et se boucher les oreilles (une option choisie par l'écrasante majorité), ou s'informer et, dans la mesure du possible, agir avec les moyens légaux qui leur restent.Et malheureusement, dans ce domaine, l'horizon semble plutôt bouché. Le Conseil constitutionnel, dans une décision du 20 mars 2015, a donné tort à deux parents, les époux Larère, qui justement avaient signalé la situation absurde dans laquelle ils se trouvaient vis-à-vis de leur obligation vaccinale DTP et avaient renoncé à faire vacciner leurs deux enfants. Cette décision, qui paraît contraire à la Loi Kouchner du 4 mars 2002 sur la liberté de choix thérapeutique, semble d'autant plus anachronique que le vaccin DTP n'est plus obligatoire dans aucun pays d'Europe en dehors de la France [1] ! Au lieu de faire pression sur les laboratoires pour qu'ils fournissent un vaccin sans adjuvants dangereux et sans souches de maladies superflues, les autorités choisissent donc de sanctionner les parents, tout en les obligeant à faire courir des risques inutiles à leurs enfants. (la suite ci-dessous) Annonce spéciale Cancer du col de l'utérus : un champignon fait mieux que le vaccinÀ la une du numéro de mars d'Alternatif Bien-Être, une équipe de chercheurs a trouvé un traitement contre les papillomavirus, responsables du cancer du col de l'utérus. Un champignon, le lentin du Chêne ou Shiitake, s'est révélé aussi efficace que le vaccin, sans les effets secondaires !Au pays de Pasteur, on n'entendit guère parler pourtant de cette découverte. Alternatif Bien-Être vous livre un dossier complet sur ce champignon, ses effets et comment le consommer. Je vous envoie ce numéro gratuitement avec tout nouvel abonnement à Alternatif Bien-Être. Cliquez ici pour découvrir Alternatif Bien-Être en vidéo. Suite de la lettre de ce jour : À qui profite le crime ?À ce stade, il est peut-être intéressant de préciser que le vaccin DTP Mérieux (sans aluminium), aujourd'hui retiré du marché, coûtait 6,54 EUR contre 40 EUR pour le vaccin hexavalent avec aluminium INFANRIX Hexa de GlaxoSmithKline !Le Revavix (avec aluminium) coûte, lui, 50 % plus cher que l'ancien vaccin sans alu, et cela sans aucun avantage thérapeutique. Ce prix ne serait pas un problème en soi s'il n'y avait pas, par derrière, des pratiques assimilables à de la « vente forcée », selon la députée européenne Michèle Rivasi. « Nous sommes ni plus ni moins dans un schéma de vente forcée et de désinformation du consommateur, avec la complicité du HSCP. Et quand on sait que le Pr Daniel Floret, président du Comité technique des vaccinations (CTV), n'est pas exempt de conflits d'intérêts avec les fabricants de vaccins, on est en droit de se poser des questions. À qui profite le crime ? Aux laboratoires pharmaceutiques bien évidemment », a-t-elle déclaré lors d'une conférence de presse le 24 mars 2015. Sortir de la criseDe leur côté, les laboratoires réfutent la thèse d'une pénurie organisée.Ils expliquent faire face à une demande exceptionnelle de vaccins due à l'épidémie de coqueluche aux Etats-Unis, en Angleterre et en Australie. Ils insistent aussi sur les délais importants de production de vaccins (18 mois) et plus encore de la construction d'une usine à vaccins (10 ans). Ces arguments tiennent-ils la route ?
On attend donc des autorités qu'elles adoptent une attitude responsable et sensée. On attend aussi que les citoyens s'expriment sur ce sujet. Vous-même pouvez commencer sans attendre : je vous invite à réagir à cet article en cliquant ici. C'est notre seul espoir de sortir de la crise. À votre santé ! Jean-Marc Dupuis PS : Si vous n'êtes pas déjà inscrit à La Lettre Santé Nature Innovation rendez-vous ici, et recevez régulièrement mes chroniques sur les dernières avancées des médecines naturelles, toujours prouvées scientifiquement. L'inscription est entièrement gratuite. ****************************** Publicités : Résistance : Libérez-vous des lobbies agro-alimentaires et pharmaceutiques grâce à Alternatif Bien-Être, le journal de référence de la santé naturelle, à découvrir dans cette vidéo (lien cliquable). Sans effet secondaire : Un des plus graves problèmes de la médecine actuelle est que, par manque de temps, de formation, mais aussi pour des raisons légales, les médecins conventionnels ont tendance à ne PAS proposer à leurs patients des solutions naturelles, qui offrent pourtant de grands espoirs. On sait pourtant aujourd'hui que des composés naturels peuvent contribuer à soulager douleurs et maladies, sans danger ni effet secondaire, et pour un coût dérisoire quand on a la bonne information. Pour en savoir plus, visitez la page ici. Mauvaise réputation : Les hormones ont mauvaise presse. Elles sont pourtant des substances naturellement produites par l'organisme et indispensables au bon fonctionnement de votre corps, contrairement aux sucres, pesticides ou huiles trans. Apprenez-en plus grâce à l'un des tous meilleurs endocrinologues mondiaux dans cette vidéo (lien cliquable). ****************************** Si vous n'êtes pas encore abonné à La Lettre Santé Nature Innovation et que vous souhaitez vous aussi la recevoir gratuitement, inscrivez-vous ici. ****************************** Pour être sûr de bien recevoir La Lettre Santé Nature Innovation sans qu'elle se perde dans votre boîte de messagerie électronique, visitez la page suivante. ****************************** Si vous souhaitez commenter cet article, je vous invite à le faire ici. ****************************** Si vous pensez que ce message pourrait intéresser un ami ou un proche, n'hésitez pas à le lui transférer par email (utilisez la fonction "transférer ce message" dans votre boîte de messagerie électronique). Pour partager cet article, vous pouvez utiliser l'un des réseaux sociaux suivants : ****************************** Source : [1] L'obligation vaccinale n'existe plus qu'au Portugal pour la diphtérie et la polio, et en Belgique pour la polio seulement. Ailleurs en Europe, l'Allemagne, l'Angleterre, les Pays-Bas, la Suisse, l'Espagne, en autres, ont tous levé l'obligation vaccinale. ****************************** Les informations de cette lettre d'information sont publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de cette lettre, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être. L'éditeur n'est pas un fournisseur de soins médicaux homologués. L'éditeur de cette lettre d'information ne pratique à aucun titre la médecine lui-même, ni aucune autre profession thérapeutique, et s'interdit formellement d'entrer dans une relation de praticien de santé vis-à-vis de malades avec ses lecteurs. Aucune des informations ou de produits mentionnés sur ce site ne sont destinés à diagnostiquer, traiter, atténuer ou guérir une maladie. La Lettre Santé Nature Innovation est un service d'information gratuit de Santé Nature Innovation (SNI Editions). Pour toute question, rendez-vous ici. Service courrier : Sercogest, 60 avenue du Général de Gaulle, 92800 Puteaux - France ****************************** Vous recevez ce message à l'adresse MGB.OPN.EPFAN@blogger.com car vous avez souscrit à La Lettre Santé Nature Innovation. Si vous ne souhaitez plus recevoir cette lettre d'information gratuite sur la santé naturelle, rendez-vous sur notre page de désinscription. |
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