Avoir une peau de jeune fille… après 50 ansChère lectrice, cher lecteur, Après la cinquantaine, le renouveau cellulaire est réduit de près de 50 %. La peau devient alors plus fine, plus rêche, et donne une impression de sécheresse et de tiraillement. Les protéines qui lui donnent du soutien et de la souplesse – collagène et élastine – se raréfient, surtout après la ménopause. Le visage perd alors de son ovale, les traits s'affaissent, les rides s'approfondissent. Mais attention…La peau mature dispose d'une fabuleuse capacité de résistance. Mais il faut pour cela comprendre ce qu'elle réclame.Vous allez découvrir dans le numéro de décembre de Plantes & Bien-Être qu'il ne s'agit pas simplement de remèdes de beauté traditionnels, mais de découvertes en phytothérapie validées par la recherche scientifique la plus récente !! Cela vaut pour les femmes de plus de 50 ans comme pour celles de 30 ans. En étudiant le fonctionnement de la peau, les chercheurs ont en effet découvert qu'il est possible de retarder son vieillissement à condition de sélectionner les bons principes actifs, le plus tôt possible. Superbe sérum régénérantVous allez ainsi découvrir les huiles végétales |
On ne présente plus l'huile de bourrache (l'huile antivieillissement de référence), mais d'autres, moins connues, sont d'excellentes sources de vitamines (A, D, E, K, H, PP) et d'acides gras polyinsaturés (acide gamma-linolénique, acide linolénique) : huile d'argan, de figue de barbarie ou de macération de racine de carotte…
Les huiles essentielles sont quant à elles réputées pour leur grande affinité envers le tissu cutané. Elles traversent l'épiderme pour atteindre la circulation sanguine sous-jacente, tout en ayant une action d'oxygénation, de réparation, de régénération…
- Le géranium rosat donne beau teint
- La ciste ladanifère comble rides et ridules
- Et que dire de l'huile essentielle de rose, au parfum envoûtant… Saviez-vous qu'il faut 4 tonnes de pétales pour obtenir un seul kilo de sa précieuse essence ? (Il y a une bonne raison à cela).
Et voici le vrai trésor…
Mais venons-en maintenant au véritable trésor contenu dans le numéro de décembre de Plantes & Bien-Être : la formule d'un exceptionnel sérum régénérant pour le visage.Seulement 2 à 4 gouttes de ce mélange, en massant bien l'ensemble du visage, du cou et si besoin le décolleté…
Le temps passera toujours sur la peau, on ne vous dira pas l'inverse. Mais comme passe vous voir un ami doux et bienveillant. Un ami de jeunesse…
À découvrir aussi dans ce numéro de décembre, les solutions naturelles efficaces contre un mal qui touche 10 % de la population, à qui les médecins répondent encore beaucoup trop souvent « on ne peut rien faire ! »
Il y a un musicien dans votre tête, et c'est horrible !
Cela s'appelle des acouphènes. Et pour faire simple, c'est insupportable. Un bourdonnement, un sifflement permanent dans les oreilles qui empêche de dormir, de penser, qui donne la migraine jusqu'à en devenir fou dans les cas les plus pénibles.Alors, rien à faire, vraiment ? Non, heureusement !
Quelle que soit la cause des acouphènes chroniques, la stratégie pour s'en débarrasser est d'améliorer la circulation cérébrale, en particulier la microcirculation autour de l'appareil auditif, afin que les fonctions de l'oreille se fassent mieux et que la perception des acouphènes diminue.
Vous trouverez dans ce numéro de Plantes & Bien-Être les deux substances naturelles à essayer dès l'apparition du phénomène :
- Le ginkgo biloba. La Fédération européenne des associations d'acouphéniques mentionne un taux de réussite élevé avec les extraits standardisés de ginkgo administrés dans les 3 premiers mois, à des doses de 240 mg par jour. (Attention, une forme est cependant déconseillée).
- La vinpocetine, un dérivé de l'alcaloïde vincamine qui se trouve dans la petite pervenche. Une personne sur deux qui démarre une supplémentation en vinpocetine immédiatement après un traumatisme acoustique voit ses acouphènes disparaître.
Alors que s'installent le froid de l'hiver et les maladies de saison, nous avons voulu vous offrir dans ce numéro de Plantes & Bien-Être des conseils jamais lus ailleurs pour vous détendre et profiter au maximum de moments de plaisir insoupçonnés que peuvent vous offrir les plantes…
Savez-vous prendre un bain ?
Je vois d'ici votre réponse :« Ben oui, je sais prendre un bain, ça ne va pas bien de poser des questions aussi idiotes !!! »
Je reconnais que la question est un peu surprenante. Mais vous allez voir que ce n'est pas du tout aussi simple qu'on croit.
D'abord, il s'agit de choisir la bonne température :
- Une eau tiède pour calmer les tensions nerveuses, musculaires, ou soulager les raideurs articulaires ? Ne dépassez pas alors 38°.
- Une eau chaude purificatrice, qui dilate les capillaires et stimule la combustion d'énergie dans les cellules ?
- Une eau froide (35°) fortifiante, qui augmente la pression artérielle et ralentit les battements du cœur ?
Et surtout qu'il faut y ajouter des plantes, avec précision et délicatesse. Pour cela nous vous montrons comment préparer un petit sachet en voile de coton à glisser sous le robinet pendant que le bain se remplit.
Si vous voulez un bain réconfortant, mettez camomille, lavande et rose dans votre sachet. Pour la peau douce : calendula et consoude. Un bain antidouleur, lui, se prépare avec un mélange bien dosé d'arnica et de reine des prés…
Vous découvrirez aussi le bain de bras chaud contre le rhume (attention à bien le faire au coucher) ou encore le bain oculaire contre les irritations des yeux et des paupières…
Voilà pour le bain complet. Et il y a, vous le verrez, encore bien d'autres surprises…
À lire aussi dans ce numéro :
Cancer du sein : marche après marche, pour gagner
Plantes & Bien-Être publie en décembre le dernier volet de son grand dossier sur le cancer du sein, rédigé par le Dr Bérangère Arnal, gynécologue et grande spécialiste en aromathérapie et phytothérapie.Après la chimiothérapie (voir Plantes & Bien-Être de novembre), la radiothérapie est l'autre face du traitement traditionnel du cancer su sein, et elle aussi est une source de traumatisme pour le corps. Le silicium d'origine naturelle ou l'application d'huiles essentielles non diluées de niaouli, de myrrhe ou d'immortelle ont fait leurs preuves pour protéger des brûlures.
Le Dr Arnal explique également comment mieux vivre avec les traitements anti-hormonaux et leurs effets secondaires : bouffées de chaleur, douleurs articulaires, ou sécheresse vaginale…
Face au cancer du sein, il faut envisager toutes les possibilités pour trouver le chemin de la guérison et du mieux vivre. Ainsi, même si les preuves scientifiques manquent pour expliquer le rôle fascinant des brûleurs de feu, de nombreux centres de cancérologie suggèrent d'en consulter un. Vous verrez que ce n'est pas sans raison…
Souvenez-vous : l'esprit, la force psychique, le mental sont au cœur du processus de guérison.
En complément des thérapeutiques classiques, ce sont eux qui donnent la force de remonter la pente, marche après marche.
Eux aussi qui aident à considérer la maladie avec le juste regard.
Car, non ! Le cancer n'est pas synonyme de mort.
Il est une épreuve, douloureuse et longue, que des médecines non conventionnelles peuvent rendre plus supportable au quotidien.
Le cancer est une étape et non une fin. Et malgré lui, chaque instant présent doit autant que possible demeurer comme un cadeau de la vie.
Egalement dans ce numéro de décembre de Plantes & Bien-Être :
- Transit trop rapide, voire « super express »… Explorez la piste de l'anxiété ! Le Dr Franck Gigon vous fait découvrir LA plante de régulation nerveuse et digestive. Et si cela ne suffit pas, il vous parle d'une cure de ferments lactiques, en alternance une semaine sur deux avec une huile essentielle de cannelle feuille (attention à bien suivre la posologie.)
- Vive l'huile de palme ! Oui, vous avez bien lu. Vous allez assister à un véritable procès en réhabilitation pour cette huile dont le nom reste injustement associé aux méfaits d'industriels sans scrupule. La véritable huile de palme est un trésor de santé, naturellement rouge du fait de son incroyable teneur en bêta-carotène (15 fois plus que les carottes !). Mais vous allez voir que les noix de palme sont des fruits qui se méritent…
- Digestion : ça va vous changer de la tisane de grand-mère ! Notre mélange spécial de fenouil, verveine citronnée, cardamome et souci : c'est de la dynamite !!!
- Vous aimez l'encens, ses arômes de bois (genévrier, cèdre, agar ou santal) ? Alors vous n'allez pas du tout aimer cette nouvelle : 95 % des encens vendus dans le commerce ne sont rien d'autre que des bâtonnets sans saveur trempés dans du parfum (de synthèse) !!! Heureusement, il existe des techniques pour distinguer le bon grain de l'ivraie (notamment, nous vous disons quoi faire si vous détectez une note très ambrée, ou très sucrée).
- Huile essentielle : notre guide pour ne pas les confondre. Le thym vulgaire se décline jusqu'en 9 chimiotypes différents – donc avec des profils biochimiques différents, et des indications (presque) toutes différentes. Et c'est la même histoire avec la lavande, la camomille, le ravinstara etc. Dans le meilleur des cas, une confusion entre deux huiles vous coûtera « juste » un peu d'argent, mais si vous tombez mal, cela peut être bien pire… Gardez bien notre tableau spécial avec vous au moment d'aller acheter vos huiles, vous saurez lesquelles éviter absolument !
- Un invité dans la salade du Pr Joyeux ! Ils sont chirurgien, nutritionniste, pharmacien, acupuncteur, et nous révèlent quelle est leur plante fétiche. Celle qu'ils utilisent pour eux, que ce soit pour soigner des verrues ou pour prévenir du cancer, et qui après des années de pratique, continue de les fasciner. Vous y retrouverez des célébrités comme le persil, le desmodium ou la rhodiola, et quelques autres figures plus discrètes de nos jardins. Amusant : vous apprendrez au passage ce que le Pr Joyeux met toujours dans ses salades, et que le célèbre botaniste Jean-Marie Pelt a une étonnante botte secrète pour soulager la douleur !
- La naschi, poire ronde et jaune originaire d'Asie, efficace contre la gueule de bois
- L'asbinthe, antivermineuse radicale contre les ascaris, oxyures ou tenia
- Le bourgeon de noyer contre la surcharge pondérale
- Une crème de jour antipollution à préparer chez soi (détail : munissez-vous d'un batteur à potage…)
Alessandra Moro Buronzo,
Rédactrice en chef de Plantes & Bien-Être
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